欢迎来到中国
Nos premiers pas en Chine nous ont réservé quelques surprises :
1. Les gens ne parlent pas anglais et très peu d’inscriptions en langue universelle. La galère! C’est sympa le « javanais », comme dit mon acolyte, mais pour les non initiés pas facile facile.
2. C’est très propre, les gens ne jettent pas leurs détritus par terre, comme j’avais pu le voir au Vietnam. Ça crache un peu de temps à autre mais ça va on s’y fait.
3. Tout semble hyper organisé : pour réserver certains trains, il faut s’y prendre 3 jours à l’avance, pas hyper pratique pour les baroudeurs… et présence de portiques de sécurité systématiques.
4. Le moyen de locomotion principal reste la voiture, peu de motobikes contrairement au reste de l’Asie!
Par contre, comme nous nous y attendions, à peine passée la frontière (HK est indépendant de la Chine), la population se fait plus dense, ça pousse dans le métro et les gens sont plus invasifs et bruyants (le chinois est une langue un peu agressive).
14/03 – Shenzhen et le train…
Parce que voyager c’est aussi des galères, voici le récit de notre première soirée en Chine, à Shenzhen plus exactement. Nous avions choisi de faire escale dans cette ville frontalière pour reprendre le train tôt le lendemain direction les pains de sucre de la région de Giulin. Sauf que…
Le train que nous avions repéré est full. Et nous avons mis plus d’1h à nous en rendre compte. Ben oui les écrans d’achat de billets sont en chinois uniquement et les gens n’arrivent pas à nous aider. Finalement, une petite dame bien cool nous prend en charge, la seule dans cette gare à parler 2 mots d’anglais. Après plusieurs essais infructueux sur ces foutues machines, elle nous emmène au guichet que nous avions loupé et traduit pour nous. On trouve finalement 2 trains successifs pour nous mener à notre destination à délai et tarif plus important. Ouf, une chose de faite! Billets en poche, direction l’auberge maintenant. Problème : on a une adresse en anglais alors que les rues sont inscrites en chinois seulement et les numéros de rues absents. Et comme google map ne fonctionne plus, et bien nous nous retrouvons à arpenter les rues désertes pendant 1h encore avec nos big sacs, avant de trouver une âme charitable pour nous guider. Évidemment tout le monde dort dans notre dortoir à l’arrivée.
Bref, bienvenue en chine!